Dimanche 27 Septembre 1981 Matin
Chacun récupéra sa chacune et direction la plage, pendant les dix minutes de voyage je demandais à AL comment ça cétait passé,
si la nuit avait été agréable.
AL : « On en reparlera à tête reposée,
quand on sera seul,
à la maison,
maintenant profitons du soleil,
»
Jeu limpression quil y avait eu des problèmes et la prudence me conseillais dattendre. Nous étions à la plage, où on retrouva toute la bande. Natation, pèche sous-marine, volley-ball,
la matinée passa rapidement, mais le cabin cruiser nétait plus là. Alors que nous nagions je réussis à dire à Véro, je passe te voir dans la semaine. Après le déjeuner au maquis habituel, nous rentrâmes pour la sieste.
Après une petite sieste, je remettais ma question sur le tapis. Là, mi en colère, mi rigolant, elle me raconta ce qui cétait passé. Après, la déclaration de Véro, B avait vue la voiture partir et resta sans voix pendant un moment, puis en colère, et se tournant vers moi : « Mais comment peut elle savoir que tu, que nous, enfin,
cest pas possible, ... »
Javais la réponse, car un fois Véro lors dune conversation anodine Véro mavait dit : « Jaime bien ton parfum,
cest du D,
» sur le coup je navais pas fait le rapprochement et je dis à B que la question à lépoque ne mavait que surprise,
mais quensuite, je métais posé des questions,
et que je nétais pas allé plus loin,
» La réponse parut le satisfaire et se retournant vers moi : « Mais,
tu étais au courant quelle est la maitresse de ton mari,
» et là cest moi qui ait été surprise, car : « je ne le savais pas,
enfin, je nen étais pas certaine,
enfin vous avez bien caché votre jeu,
et depuis quand ça dure,
»
Moi : « Depuis la soirée où B te serrait dun peu, non, de très près et quétant au bar pour prendre des boissons, un type, qui ne mavait pas vu, a dit - Tiens, le troufion est en train demballer AL De retour à la table jai invité Véro à danser et ça a marché, car je pense quelle soupçonnais B de la tromper avec toi,
»
LA : « Admettons,
»
Moi : « Et alors,
vous nêtes pas resté planté là,
»
Véro : « Non,
je lui ai dit,
on ne peut pas rester ici, certains vont se poser des questions,
et puis, dis donc,
tes lamant de sa femme,
il est lamant de la tienne,
cet un échange,
cest juste un problème de sexe,
bon, tu me raccompagnes ou je prends un taxi,
ça la réveillé,
et il a dit à la salope, et il est parti à rire,
cest formidable, moi qui rêvais de passer une nuit avec toi, et ne savais comment te le propser,
elle nous en donne loccasion, .
Et nous sommes partis à la maison,
»
Moi : « Et comment ça cest passé,
»
AL : « Bien,
je ne pense pas que tu veuilles des détails,
disons quil manque un peu dimagination,
et toi,
»
Moi : « Bien,
très bien,
elle a du tempérament,
»
AL : « Alors cest à recommencer,
»
Moi : « Pourquoi pas,
cest à vous de décider,
je pense, dailleurs que vous allez bien trouver un prétexte pour vous rencontrer et en discuter,
»
AL : « Fous moi la paix,
il fait encore bon,
on retourne se baigner,
dans un endroit tranquille,
»
Moi : « Aurais-tu des idées,
AL : « Fous moi la paix et conduis,
»
Moi : « As-tu pris une serviette et un maillot,
»
AL : « Un maillot,
pourquoi faire,
tu me veux nue sous mes robes,
si on va à une plage tranquille, pourquoi mettrais je un maillot,
et toi,
»
Moi : « Moi, tu sais que jen ai toujours un dans la voiture,
»
AL : « De toutes les façons, avec ou sans maillot,
un homme est beau, que quand il bande,
»
Moi : « Tu sais ce que tu es,
»
AL : « Oui, ta femme chérie,
avec qui tu vas aller te baigner,
et ensuite, à qui tu vas bouffer la chatte,
salée,
et à qui tu feras lamour sur la table,
non,
que tu baiseras très fort,
»
En charge de la construction de la route qui longeait locéan et traversait le pays, je connaissais toute la plage, lutilisant quelque fois le soir, après le travail, pour aller faire trempette. Nous sommes allés bien au delà de lhabituelle plage, à la hutte où il ny avait personne.
Moi : « Lendroit te satisfait-il ?
Sans rien dire, elle descendit. Alors, le temps que je ferme la voiture, elle sétait rendue dans la hutte et sétait mise nue et en prenant une pose plutôt excitante, elle dit :
AL : « Dis moi que je te plais,
que tu as envie de moi,
» et elle fila plonger dans leau, il ne me restait plus quà la suivre, ce que je fis.
Nous étions dans locéan et batifolâmes, comme des gamins, pour enfin revenir sur la plage. Alors que jessayais de la prendre : Non,
pas, ici,
pas sur le sable,
dans la hutte,
»
Là sans lombre dune hésitation, sur la table, sappuyant sur ses coudes et les cuisses bien écartées : « Viens me goûter,
regardes cest à toi,
» Heureusement un rayon de lune éclairait plus ou moins le spectacle. Elle moffrait sa chatte à goûter, ce que je mempressais de faire. Lodeur de sa chatte sentait sa propre odeur mélangée à lodeur salée de locéan, ce que je mempressais de déguster dabord du bout des lèvres puis goulûment. Ma langue alla chercher et apprécier le jus qui suintait de son minou. Je men réglais, et lui disais en plaisantant quelle avait un peu trop salé la sauce. « Imbécile,
continues,
jaime sentir ta langue,
» et là, si ma langue soccupait du haut de sa chatte, deux doigts senfoncèrent au plus profond de son fourreau que je masturbais dabord doucement puis avec entrain, la réaction arriva rapidement : « Oui,
continues,
cest bon,
jaime te sentir me prendre comme ça,
» ses mains sétaient sous ses genoux et elle avait soulevé ses jambes en les écartant, soffrant : « Tu vois,
je mouvre pour toi,
continues,
encore,
non,
ne tarrêtes pas,
je sens que je vais,
oui,
continues,
OOOOOOHHHH,
- OUIIIIIIIIII,
» et elle eut un spasme qui la fit se contracter brutalement suivit de légères contractions qui la laissèrent essoufflées pour enfin se laisser aller. Ce qui venait de se passer, ne mavait pas laissé indifférent et javais une trique importante et je navais pas lintention den rester là, je la voulais,
Alors que jétais toujours installé entre ses cuisses et quelle semblait avoir lintention de se laisser glisser de la table, son entrejambe butta contre ma queue parfaitement dressée et prête à servir. Sentant cela, elle glissa une main entre nous et sentant la chose bien dure, elle dit : « OH,
non,
pas maintenant,
» ce à quoi je lui répondis : « OH si,
maintenant,
tes toute chaude,
» Elle était en bonne position et elle se laissa, légèrement, glisser de la table pour venir sempaler sur ma bite, qui sintroduisit dans son fourreau sans problème tellement elle était trempée.
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